Le hameau de la Basse Maure

CADE

Centre d'Accueil de Développement et d'Échanges

Entre pinède et vignoble,

les vieilles pierres du hameau de la Basse Maure

offrent un cadre idéal pour

la détente, la réflexion, les échanges


Le hameau de la Basse Maure est situé en Provence, dans le département du Var, sur la commune de Flayosc, à proximité de Draguignan.

Il est à moins d’un quart d’heure des grottes de Villecroze, des cascades de Sillans et du village perché de Tourtour, moins d’une demi-heure de l’abbaye du Thoronet, moins d’une heure du lac de Sainte-Croix, des gorges du Verdon et de la Méditerranée.

Le hameau était habité depuis longtemps par des cultivateurs – éleveurs succédant depuis le néolithique aux chasseurs - cueilleurs ; il a été largement délaissé, le siècle dernier, avec l’exode rural, lorsque culture et élevage sont devenus « exploitation agricole ».

Il appartient à la même famille depuis au moins le XVIIème siècle.

Aujourd’hui, ses habitants travaillent à l’extérieur ou sont retraités ; leurs maisons sont ouvertes sur l’extérieur tandis que celles qui donnent sur la placette centrale sont affectées à l’accueil de personnes, isolées ou en groupe, venues se ressourcer et réfléchir au calme.

La qualité de vie au hameau est ainsi préservée, malgré l’afflux estival de touristes dans notre région ; elle est marquée par les relations entre ses habitants.

Jean et Marie-Josée Emerat ont créé en 1990 le Centre d’Accueil, de Développement et d’Echanges, CADE, pour affecter le hameau qu’ils restauraient à des activités d’accueil de personnes et de groupes, pour réunions de travail, sessions de formation, séminaires de réflexion, retraites religieuses.

Jean animait de telles réunions ou séminaires et était convaincu que ce lieu était bien adapté à la réflexion et aux échanges.

Marie-Josée avait exercé la profession d’infirmière et souhaitait se mettre au service des personnes qu’elle était heureuse d’accueillir.

Dans ce hameau, fruit d’une longue histoire familiale, en cohérence avec la disposition des lieux et avec l’accord de leur voisins, ils ont conçu et développé ces activités d’accueil « au service de la relation » selon leurs aspirations personnelles et leurs valeurs, pour leur plus grande satisfaction.

Le rythme de l’accueil, espacé dans le temps, était bien adapté à leur situation de retraités ; son caractère familial, non commercial, en réduisait les exigences.

Les échanges avec les hôtes étaient enrichissants.

En juin 2017, l’opposition des propriétaires du lieu qui voulaient des activités touristiques pour dégager des revenus plus importants a entrainé la cessation des activités du Centre.

Aujourd’hui, ces activités reprennent, grâce à ceux qui aiment ce hameau et apprécient les activités du centre et les méthodes « au service de la relation » qu’il soutient. 

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